« On a eu droit à la participation de Michel Martinez », sourit Tony Bourrier. « Mickey l'a poussé à disputer un quatrième set. Les clubs professionnels font la pluie et le beau temps. Un Martinez ne se serait sans doute pas déplacé chez nous. Pareil pour Géminiani et Nice », soupire Bourrier.
Ensuite, les protégés du président Besozzi ont eu droit à un remake pongiste de la panne de projecteur du stade San Siro en 1991 lors du quart de la C1 Milan AC-OM : « C'était un match sketch. Nous avons eu droit à l'extinction des lumières à 21h, alors que nous menions 8-7. Cela a duré 55 minutes. Et mystérieusement, 5 minutes avant que le juge arbitre ne déclare la rencontre terminée, les lampes se sont rallumées », raconte le coach de Neuves-Maisons.
Dans ce contexte particulier, Jean-Charles Gass et Simon Stalla ont fait le plein. C'est la table B qui sauve Neuves-Maisons en remportant 8 points. Seul Jean-Louis Lamarre bat péniblement un classé 19 (13-11 à la belle). « Simon est lui apparu très serein, on le sentait fort ».
Nationale 2 (F)
Saint-Maur bat Neuves-Maisons : 10-2 Croix-Rousse bat Blainville : 10-2
Les filles de Neuves-Maiosns, encadrées par Laurent Loudin n'ont comme prévu pas pesé lourd face à la VGC Saint-Maur (2-10). Seule Flore Sigwalt gagne un simple. Blainville-Damelevières s'incline sur le même score face à une équipe de la Croix Rousse flashy : « C'est l'équipe la plus forte de la poule. On joue cinq belles et on n'en remporte que deux. C'est Pauline (Chasselin) qui apporte les deux points face à deux joueuses classées 14. Elle perd Alyssia Perrin 8 à la belle », synthétise Didier Lamm.
Avec deux victoires en trois rencontres, Blainville n'a pour l'instant pas trop de souci à se faire pour le maintien.
Lundi 01 Mars 2010, © L'Est Républicain / SPORTS LORRAINE
